Où qui sont les pitis pirates? ^^ (libre pour tous)

Les jours s'étaient encore plus écoulés et les pirates étaient toujours désespéremment absent. Est ce qu'ils allaient revenir un jour? En tout cas, ce qui était plus que clair, c'est qu'ils n'avaient pas pu quitter le Pays Imaginaire, Banzaï le savait ainsi que tous les autres. Preuve plus que tangibles? Le bateau du captif capitaine Crochet, le Jolly Roger, se dressait toujours aussi fièrement sur les quais de la ville des pirates. Mais, tiens, peut être s'étaient ils tous cachés dans ce dernier pour mettre au point un nouveau complot pour terrasser les enfants perdus...
Et, bien évidemment, le chef Pan s'en préoccupa en ce jour calme...

Volant dans les cieux, tout en exécutant une série d'acrobatie tout en sifflotant, il se dirigea vers le navire, prêt à faire une rencontre qui rendrait un peu plus de bonheur à son coeur.
On disait les pirates et les enfants perdus ennemis mais, pour les enfants perdus, c'étaient un peu comme des camarades de jeu, le genre de camarade dont on ne se lassait jamais d'enquiquiner et à qui faire des sales coups. Bon, certes, celà rendait les pirates comme les clowns de Neverland devant subir tout et n'importe quoi mais, d'où l'intérêt ^^

Se posant sur le pont, Banzaï marcha d'un pas décidé vers la cloche d'urgence qui se trouvait près du gouvernail et se mit à la faire bruyamment résonné.

"Hey, les pirates, si vous êtes pas là, moi, Banzaï, prend votre bateau et vous le rendrez jamais!!!"

La provocation ultime d'un jeune chef Pan que certains trouvaient parfois trop insouciant. Mais, en même temps, quel était le but principal des enfants perdus? S'amuser et partir à la recherche d'une nouvelle aventure et, ce, quelle qu'elle soit. Mais, il est évident que ce garçon perdu là faisait parfois preuve d'une arrogance hors du commun, un peu comme Peter si l'on veut...

Seera était, comme tout bon pirate qui ne s'entraîne pas ou n'est pas en mer, en train de faire la sieste. Confortablement calé dans un hamac, dans une cale à cpoté d'un hublot grand ouvert qui lui ammenait l'odeur salée de la mer et quelques fois ses embruns. Le danseur ne savait pas où étaient les autres, probablement en trian de faire une partie de cartes dans une autre pièce. Il s'en foutait royallement. Tant que personne ne venait le déranger... et encore si on venait le déranger ce ne serait pas malvenu. Un peu de distraction...
Des pas se firent entendre sur le pont juste au dessus de lui. rien de bien inquiétant. Ca pouvait être n'importe qui. Il n'avait pas envie de se déranger juste pour voir qui s'était aventuré ici.
Bientôt une voix désagréablement enfantine le fit sursauter.

"Hey, les pirates, si vous êtes pas là, moi, Banzaï, prend votre bateau et vous le rendrez jamais!!!"

Il grimaça puis finallement souris. Il sauta de son hamac et, croisant ses collègues dans le couloir, leur intima silencieusement de retourner à leurs occupations -qui nétait pas un chaste jeu de carte apparement- tandis qu'il s'occupait du visiteur.
Il montait donc sur le pont, fesant resonner ses chaussures sur le bois des passerelles et ne tarda pas à trouver le dérangeur. Sourire. Serait il surpris de le voir arriver seul?

" Oooh. Je suis déçu. Moi qui croyait que Peter Pan était revenu je me retrouve avec un de ces gamins mal élevé. "

Il fit encore deux pas sur le pont, les anneaux d'argent de ses botté émettant un cliquetis significatif (de quoi? mystère XD).

Banzaï attendit patiemment sur le pont, attendant la venue d'un quelconque pirate. Il avait déjà eu le plaisir de rencontrer brièvement Squame qui était resté de corvée de cannon si on peut dire celà comme ca... Mais bon, c'était Tempête qui s'en était chargé. Alors, quelle cible s'offrirait à l'enfant perdu aujourd'hui? Encore une de ces larves antiques ou alors un bon pirate tout frais, tout beau et tout nouveau?...

C'est alors que Seera faisait son entrée, fier et élégant presque. En fait, le presque stipule que, aux yeux de Banzaï, les pirates étaient tous fringués comme des saltimbanques doublé de paysans de seconde zone. Et oui, qui a dit qu'il était respectueux envers les pirates? Non mais, hein, c'est pas un enfant perdu pour rien le petit chef pan intérimaire ^^...

"Oh, c'est que toi?"

Lacha t'il alors en soupirant avant que Seera n'adresse une bonne grosse pique à Banzaï... Dans le but de le faire mousser? Ce n'est pas impossible. Et oui, il avait le caractère assez vif, comme tout enfant perdu qui se fait 'insulter' par un pirate. Puis, quand on cherche n'importe quelle raison pour faire chier un de ces loups de mers, tous les prétextes sont bons.

"Ah bon? Tu trouves que je ne suis pas convenable pour ta si grande personne? Hum... Et bien, voyons voir ca..."

Répondit il d'un ton amusé et légèrement provocateur tout en saisissant son katana en main, sachant que l'arme était encore dans le fourreau. Technique que Banzaï appréciait mais utilisait rarement. Mais, après tout, puisque Seera semblait l'avoir chercher, autant le punir comme il se devait... ^^

Après avoir bien éxprimé son regret de ne pas se trouver face au chef Pan Peter, il détailla l'enfant en face de lui. Apparement il ne fesait pas partie de ses victimes. Il sourit car il avait entendu dire que quelques unes de celles ci étaient ressorties traumatisées de leur expérience. Ses yeux se posèrent sur les deux katana ce qui lui força, non pas du respect non plus, mais disons qu'il ressentait maintenant l'enfant en face de lui comme un guerrier, se battant comme lui avec deux lames (enfin pour lui ça dépendant des moments.... son nom idéal étant deux mais pouvant varier de 1 à 15).

"Ah bon? Tu trouves que je ne suis pas convenable pour ta si grande personne? Hum... Et bien, voyons voir ca..."

Ses yeux noirs suivirent avec une lueur d'exitation la lame froide d'un des sabres se dévoiler. Tout son corps était chaud et l'apellait au combat. Pourtant il restait étrangement immobile face à la menace. Seuls ses doigts étaient crispés en une drôle de position, prêt à réagir en une quart de seconde s'il y en avait la necessité. Il eut un sourire provocant à l'égard de l'enfant perdu.

- Au cas où tes yeux juvéniles soient éblouis par le soleil je te fais remarquer que ma personne n'est grande ni par la taille ni par mon importance.

Son sourire s'élargit. Bien sûr il n'y avait qu'en étant à cette place là qu'on piuvait être libre et tranquille ; en n'étant ni écrasé, ni être une menace pour les autres (ce qui met immanquablement en péril. Il acheva sa phrase en bondissant sur un amas de caisse qui se trouvait en retrait par rapport à lui, le danseur était désormais en place.

- C'est bien propres aux gosses immatures d'avoir la grosse tête à ce point.

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